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Goodeos, plateforme collaborative RSE/DD

Intéressant ! La feuille de route de Goodeos est de « permettre, via une plateforme collaborative, une gestion décentralisée des enjeux environnementaux et sociétaux d’un territoire, pour proposer aux entreprises qui le souhaitent de s’impliquer. Une plateforme qui fonctionne un peu comme un réseau social, chaque entreprise y identifiera les challenges les plus proches, territorialement et par rapport à leur stratégie RSE » explique Jean-Baptiste Mathieu, qui a aussi souhaité ouvrir Goodeos aux associations, aux administrations et même aux particuliers en quête d’engagement par nature durable… « En se réappropriant ces enjeux de proximité. »

Source : Tribuca ; Goodeos, accélérateur de développement durable ;

La grande distribution s’adapte face à la situation sanitaire

Innovation et grands groupes : la grande distribution s’adapte face à la situation sanitaire

Extrait de l’article hebdomadaire de Maddyness sur l’actualité des grands groupes en matière d’innovation. En ce moment, l’adaptation aux défis sanitaires est au cœur des sujets. Mis à l’honneur : Carrefour, Amgen Innovations, Biolabs, la Fondation Université de Paris, Roland Berger, Unicancer, Système U, et April Partenaires.

  • Les commerçants accèdent gratuitement à la Marketplace de Carrefour France dans le cadre du confinement.
  • Système U noue un partenariat avec Yper pour compléter son offre de livraison collaborative à domicile.
  • April Partenaires s’associe à Teepy Job pour faciliter le recrutement des artisans du bâtiment

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Environnement : ce que propose l’incubateur Earthship Sisters

Vingt-quatre femmes connectées pendant neuf mois pour monter leur projet professionnel environnemental dont quinze jours en autarcie sur un bateau, c’est ce que propose l’incubateur Earthship Sisters. L’appel à candidatures est ouvert jusqu’au 30 novembre.

Elles étaient quatorze en 2019, elles seront vingt-quatre en 2020 à embarquer dans une nouvelle aventure terrestre et maritime autour de l’entrepreneuriat écologique, baptisée Earthship Sisters . « C’est un programme ouvert aux femmes de tout âge, quelles que soient leur région et situation professionnelle : en sortie d’études, en transition professionnelle, salariée, à leur compte ou à la retraite. L’important, c’est qu’elles aient envie de porter un projet à impact environnemental », précise la cofondatrice Déborah Pardo, docteure en écologie des populations, conférencière et consultante scientifique mondialement reconnue.

Des mécènes de compétences, dont Altran, acceptent de venir en renfort. « Tous s’engagent à accompagner les Sisters en ouvrant leur carnet d’adresses, en proposant leur expertise, en donnant des conseils », insiste Déborah Pardo.

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Vidéos : EARTHSHIP SISTERS – Accélérateur de leadership environnemental ; Que disent-elles du programme ?

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L’utilité, la compétence, l’appartenance

Victor Waknine : « Au travail, le bien-être passe par trois sentiments : l’utilité, la compétence, l’appartenance »

Inventeur du concept de Goodwill Social, créateur de l’Indice de bien-être au travail (IBET), Victor Waknine dirige le cabinet Mozart Consulting. Spécialité : l’engagement des collaborateurs et la performance sociale de l’entreprise. Il décrypte pour 6boolo les mécanismes du bien-être dans la vie professionnelle et reprécise la définition de ces concepts que sont bien-être, bonheur, engagement, sens, motivation… Une certaine confusion règne parfois entre tous ces concepts

Le « bien-être au travail » a une définition claire en psychologie sociale, il est constitué de trois sentiments : Utilité (dans mon travail), Compétence (dans mon métier), Appartenance (à mon environnement de travail).

La confiance, nouvel indicateur de l’après Covid-19 ?

La notion de confiance est très présente dans la norme internationale ISO 26000:2010. Elle recouvre autant la part accordée à l’entreprise par les parties prenantes (employés, consommateurs, actionnaires) que la dimension opérationnelle comme l’exactitude des informations.

« La confiance se gagne en gouttes et se perd en litres », écrivait le philosophe Jean-Paul Sartre. C’est la maxime que nous rappelle Hervé Serieyx, ancien Délégué Interministériel.

On attirera l’attention de nos lecteurs sur l’intérêt de l’ouvrage d’Hervé Sérieyx (Comment restaurer la confiance en période de crise – paru en mai 2009), notamment en cette période de crise/post-crise. Les institutions sont-elles encore capable de susciter la confiance ? Comment rétablir un climat de confiance ? La confiance a-t-elle évolué ? Comment remettre cet indispensable « carburant » dans nos institutions.

Il en livre ses « 10 commandements », dont le 4ème … « dans une société du savoir, l’entreprise aujourd’hui a besoin de « T women » et de « T men », c’est-à-dire de personnes capables d’approfondir leur professionnalisme tout en élargissant leurs compétences. »

 


 

Il existe bon nombre d’expressions pour exprimer l’incertitude. Elle pointe le bout de son nez à un moment où trop de faits et de paroles contradictoires s’accumulent. Ces quatre mois de pandémie Covid-19 dans le monde ont été un électrochoc. Tant pour les individus que pour les gouvernements et les entreprises. Choc des informations, choc dans les organisations, choc dans le quotidien, choc professionnel et économique. Bon nombre de nos croyances ont ainsi été remises en cause, fragilisant notre confiance, tant sur notre vie que nos gouvernances. Quels nouveaux indicateurs de confiance politique, économique, professionnelle et personnelle pouvons-nous espérer pour l’après ?

Le doute vient nous titiller pour questionner le sens et la confiance. Par certains aspects, il est salutaire. Douter permet de rebattre les cartes, trouver des arguments contradictoires, il permet de se forger sa propre opinion et d’exercer son libre arbitre. A l’heure du déconfinement, le doute prend une place importante dans le débat. Mais la confiance aussi. Et ces deux ingrédients savamment dosés aident les organisations à repenser le quotidien différemment et l’avenir tout autant.

  • Défiance politique
  • Télétravail : rythme de vie professionnelle et personnelle 
  • Qualité de vie au travail Vs Qualité de travail à la maison

Si le télétravail et le flexoffice comportent un nombre d’avantages certains, les généraliser, dans de bonnes conditions, dépendra de la confiance mutuelle entre toutes les parties prenantes, de l’entreprise au salarié en passant par le ministère du travail. Il s’agira de co-créer les conditions viables économiquement et moralement de cette nouvelle norme de travail.

La transparence organisationnelle, financière et législative sera l’un des indicateurs de confiance à surveiller pour que ce nouveau télétravail ne mène pas à la banqueroute sociale.

Maddyness

 


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Une sécurité sociale de l’alimentation pour enrayer la faim

En France, nous peinons encore à mettre à l’abri de la faim. Les auteurs de cette tribune proposent donc la mise en place d’une sécurité sociale de l’alimentation, pour plus d’équité sociale, pour transformer notre modèle agricole et prendre ainsi soin de l’environnement.

Les auteurs de cette tribune sont Ingénieurs sans frontières – Agricultures et Souveraineté alimentaire (ISF-Agrista), une association composée majoritairement d’agronomes qui œuvrent pour la souveraineté alimentaire et la mise en place de modèles agricoles respectueux des équilibres socioterritoriaux et écologiques, et le Réseau Civam, qui met en lien les agriculteurs, les ruraux et la société civile pour promouvoir une agriculture plus économe, autonome et solidaire visant à nourrir, préserver et employer dans les territoires.


Source

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Ces investisseurs qui prêtent en échange de créations d’emplois

Ces investisseurs qui prêtent en échange de créations d’emplois

C’est une première en Europe. Le propriétaire des chaînes de restaurant Léon de Bruxelles, Burger King et Hippopotamus a emprunté 40 millions d’euros à des taux faibles en échange de l’engagement de créer 3 500 emplois en CDI. Une activité appelée à se développer, sur fond d’attentes sociétales et environnementales accrues.

« Il s’agit d’une première en Europe », revendique Antoine Maspétiol, gérant d’Eiffel Impact Debt. Ces engagements d’impact peuvent être des objectifs en termes d’emploi, d’éducation, de diversité, etc. « Il y a une multitude de thèmes possibles. Nous n’avons pas voulu en faire un fonds thématique », poursuit le dirigeant.

Les fonds de dette privée sont moins connus que les fonds d’investissement. Alors que ces derniers lèvent de l’argent auprès d’investisseurs pour renforcer les fonds propres d’une entreprise, les fonds de dette privée utilisent les sommes collectées pour en faire des prêts aux entreprises. Ils jouent finalement le même rôle qu’une banque mais sont souvent capables de prendre davantage de risques, car ils ne sont pas soumis aux mêmes réglementations.

source : lacroix.com

 

L’agriculture biodynamique…

Viticulture, l’agriculture biodynamique pour soigner les maux de la terre

La biodynamie est une agriculture holistique, c’est-à-dire qu’elle considère la terre comme un écosystème vivant. Les produits utilisés pour entretenir la vigne sont donc uniquement faits à base de plantes, minérales ou animales, constituant une sorte de traitement homéopathique. « Un individu n’a pas besoin d’aller se soigner tous les jours si son organisme est sain ; pour la vigne c’est pareil. Si la terre dans laquelle s’enracine la vigne est saine, la vigne va trouver tous les éléments dont elle a besoin dans le sol. »

La biodynamie c’est 30 % de travail en plus pour 30 % de récoltes en moins. La barrière qui empêche les vignerons de passer en biodynamie est essentiellement dans la tête. Il faut changer de schéma mental pour pouvoir faire de la biodynamie.

Aussi appelée « anthroposophie« , la biodynamie utilise le calendrier lunaire pour optimiser la qualité de ses produits, afin que le sol, la plante et la lune se combinent au mieux.

Qualifiée « d’agriculture positive« , la biodynamie permet de lutter contre les aléas climatiques et environnementaux. « Ici en Savoie, nous sommes dans des coteaux très pentus, puisqu’on a 30 à 40 % de pentes. Lors de gros orages, les vignes de nos voisins sont ravinées, la terre s’en va. Pour notre part, depuis que nous sommes en biodynamie, nous n’avons plus aucun problème de ravinement. »

Source : linfodurable

 

 

Malaisie: une péniche innovante contre l’invasion du plastique dans les océans

La péniche ‘Interceptor’ récupère des déchets à l’embouchure d’un fleuve, le 17 décembre 2019 à Klang, Malaisie – © AFP/Archives Mohd RASFAN

 

Face à cette marée de plastique en Asie du Sud-Est, l’ONG néerlandaise The Ocean Cleanup a mis au point une solution inédite avec son « Interceptor »: un bateau de 24 mètres qui ressemble à une péniche et est équipé d’une barrière courbée pour piéger les déchets flottants emportés par les cours d’eau.

Les déchets, essentiellement plastiques, sont dirigés vers une rampe dans la barge puis passent sur un tapis roulant avant de tomber dans des bennes à ordures.

L’ Interceptor , qui fonctionne à l’énergie solaire et est entièrement autonome, peut collecter jusqu’à 50 tonnes de déchets par jour, selon ses concepteurs.

En octobre, l’un de ces engins a été placé sur le fleuve Klang, un cours d’eau très pollué qui traverse la capitale malaisienne Kuala Lumpur avant de se jeter dans la mer dans le détroit de Malacca.

L’association Ocean Cleanup collabore avec la compagnie locale Landasan Lumayan, qui s’efforce de nettoyer les cours d’eau depuis 2016 et observe que ses efforts commencent à payer. « Le fleuve Klang était comme une décharge flottante », explique Syaiful Azmen Nordin, directeur exécutif de la société malaisienne. « Les bateaux n’arrivaient plus à passer tellement il y avait de plastique ».

« Maintenant vous pouvez constater que le fleuve ne charrie plus de débris flottants », note-t-il, alors que la barge installée près d’une mosquée de la ville de Klang, retient les déchets.

Source : GoodPlant Mag’

Un partenariat pour le développement du biomimétisme

Ce mardi 5 novembre, l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) a signé une convention pluriannuelle de partenariat avec le Centre européen d’excellence en biomimétisme de Senlis (Ceebios).

Ce partenariat s’articule autour de six objectifs : « l’appropriation de la démarche du biomimétisme par les acteurs des établissements publics et privés » ; « le renforcement de l’intégration du biomimétisme dans les appels à projets de l’Ademe » ; « la mobilisation des régions » ; « la réalisation d’études d’impacts socio économiques et environnementaux du biomimétisme » ; « l’élaboration d’un guide pour l’éco-conception par le biomimétisme » et « le soutien à des actions de communication tels que l’événement annuel Biomim’expo et la réalisation de séries documentaires ».

Source : Environnement magazine

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