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Loi Climat : un « défenseur de l’environnement » ?

LA CRÉATION D’UN « DÉFENSEUR DE L’ENVIRONNEMENT » POURRAIT ÊTRE INSCRITE DANS LA LOI CLIMAT ET RÉSILIENCE

Alors que la préservation de l’environnement devient omniprésente dans les débats à travers l’étude de la future loi climat et résilience, l’objectif est parallèlement de pouvoir garantir le respect et la compréhension des mesures à venir. Dans ce but, le gouvernement étudie la mise en place d’un Défenseur de l’environnement, chargé de veiller et conseiller sur le respect de la législation en matière d’environnement. Un projet qui ne fait cependant pas l’unanimité.

« Un projet unique au monde » selon la députée LREM Cécile Muschotti, chargée depuis janvier de rédiger un rapport à ce sujet. L’idée ne sort pas de nulle part : initialement proposée par la Convention citoyenne pour le climat, la proposition n’a pourtant pas été retenue dans le texte final rédigé par le gouvernement. Mais elle n’a pas été abandonnée pour autant.

(…)

Publié le 22 mars 2021 par Novethic

DDR/DEU 2020 : que deviennent devoir de vigilance et développement local ?

De plus en plus d’articles sur l’entreprise à mission, de références à la RSE, de témoignages sur les actions sociétales emplissent les pages de la presse (et média) tant généraliste que professionnelle.  Il existe autant de concept RSE que d’éditeur de communication.  La RSE est dans l’air du temps, comme la Qualité ISO 9001 l’a été en son époque.  M Jourdain se pâmait d’éloquence ! La Qualité y a perdu son âme !

Toutefois, au regard de la crise du capitalisme et de l’inflexion des attentes, les réflexions apportées au Grand Débat National de mars 2019 ont montré la maturité de la société civile. La dimension responsable et de bon sens du citoyen y a été un marqueur sociétal (lire notre analyse, Grand Débat national : la naissance du citoyen sociétal ). La RSE répond à la fois à un cadre légal ainsi qu’à une forte demande des consommateurs. Et pourtant, étonnamment, la RSE demeure toutefois floue dans les esprits quant à sa définition, ses moyens et sa légitimité. Et que peut-on dire sur ‘l’entreprise responsable’ ?

Mettre en oeuvre une démarche de RSE, c’est, en amont, mettre en place toute une organisation dédiée à l’exécution d’une politique globale, s’inscrivant sur un horizon de 3 à 5 ans, composée de sous-politiques sociale, sociétale et environnementale rigoureusement pilotées et évaluées par une gouvernance ad hoc, loin des clichés réducteurs limitant la RSE à des initiatives isolées et spontanées.

La communication (site institutionnel, Document de référence, Document d’enregistrement universel …) sur ses engagements RSE est un processus complexe pour l’entreprise. Il convient d’une part de rassurer les investisseurs, d’autre part de répondre aux attentes de la société civile et des parties prenantes, tout en intégrant les textes réglementaires à portée universelle, tels que le Pacte mondial, les ODD, les conventions fondamentales de l’OIT etc….

Quel est l’engagement sociétal (RSE) d’une entreprise ? Comment se faire une conviction sur le « parler vrai » ? Outre son propre prisme de lecture, le lecteur peut dorénavant s’appuyer sur de multiples références internationales, comme de baromètres. Or la prise en compte de critères (sociétaux, gouvernance, égalité, vigilance, parties prenantes, vie civile, interactions avec ses parties prenantes, ESG, éthique…) diffère selon les agences ou organismes de cotation. La comparaison s’avère donc difficile, la capacité d’influence à bon ou mauvais escient devient importante. Une aide toutefois… il est à noter que les nouvelles obligations réglementaires instruites par l’AMF (Autorité des Marchés Financiers) conduisent les entreprises à présenter leurs données extra financières de manière plus distincte. La lecture s’en trouve ainsi plus transparente. Il reste néanmoins des entreprises qui conservent l’ancien « format » de présentation.

Récemment, le magazine Le Point a publié son tout premier palmarès RSE, réalisé en collaboration avec l’institut allemand Statista, sur la base de critères pondérés sociétaux, sociaux et environnementaux. Le constat : les grandes entreprises deviennent sérieuses. L’écologie, avant tout, inspire de nombreuses actions.

Comment situer la communication (sociale, sociétale, environnementale…) des Documents de référence par rapport à l’ISO 26000 ?

Depuis 6 ans, via sa gamme de services ConvergenceRSO, LOG’ins Consultants applique sa méthode d’analyse sur la communication institutionnelle des entreprises, leur document de référence ou leur document d’enregistrement universel (URD pour Universal Registration Document) . Nous prenons comme référence la norme ISO 26000. Le benchmarking des contenus permet de coter les communications, de sérier les approches, de détailler le positionnement…

Pour notre gamme SIM26k, le ranking des 20 leaders du panel des sociétés cotées sur le marché EURONEXT sont :

NOM DE SOCIÉTÉ201720182019
KERING1451
SCHNEIDER ELECTRIC SE332
ELECTRICITE DE FRANCE112
VEOLIA ENVIRONNEMENT463
WORLDLINE624
WENDEL15136
TOTAL S.A.787
BOLLORE25228
ARKEMA11149
HERMES INTERNATIONAL28209
ALSTOM9719
SUEZ5510
SANOFI12811
ERAMET292512
BNP PARIBAS141612
L’OREAL131813
VINCI31 6613
VALEO451914
COMPAGNIE GENERALE DES ETABLISSEMENTS MICHELIN19914
ENGIE232515
ATOS SE272016
LEGRAND81217
COMPAGNIE DE SAINT-GOBAIN2217
BPCE161517
SOCIETE GENERALE121818
CARREFOUR171718
CASINO GUICHARD-PERRACHON211919
TARKETT S.A.252419
SAFRAN373119
ACCOR101020
ORANGE282920
BOUYGUES111120

Nos constats

Nous avons identifié et sélectionné 120 entreprises cotées sur le marché EURONEXT, représentatives de différents secteurs d’activités (code NAF) et présentant un document d’enregistrement universel sur 3  années consécutives (exercices 2017 à 2019).

Des thèmes récurrents et dorénavant ancrés dans l’ADN des entreprises deviennent légion ou en très forte progression. On citera 

  • les domaines liés au contexte écologique et environnemental comme la consommation d’énergie,  le développement durable et les questions environnementales, l’utilisation durable des ressources, les impacts sur l’environnement ou les risques sur l’environnement …
  • le domaine social : le dialogue social, les parties prenantes internes et externes…
  • les domaines sociétaux : le respect des droits de l’homme, le travail des enfants, la responsabilité sociétale, la sécurité des consommateurs, les activités philanthropiques, les travailleurs migrants …
  • le contexte réglementaire comme la prise en compte des normes internationales…
  • la prise en compte (identification, processus, prévention, gestion…) des risques marché, SI, fournisseurs, réputation, accidents industriels, environnement réglementaire, RSE, RH, technologiques….

A l’opposé, des thèmes sont moins mis en avant, comme par exemple : le devoir de vigilance, le développement local, le développement des compétences, la chaîne de valeur, …

Il n’en reste pas moins que certains aspects de l’ISO 26000 sont en retrait et manquent cruellement d’engagement écrit. On citera : la réponse aux besoins des consommateurs ou aux besoins essentiels, les références aux normes internationales du travail, les réponses aux différentes formes de discrimination….

D’autres thèmes sont de plus en plus « délaissés », comme par exemple… la sécurité des consommateurs, les impacts sur la société, l’utilisation durable des ressources…

Les documents citent le dialogue avec les parties prenantes, mais leur  identification ou leurs intérêts ne semble pas être un marqueur. Peu de rapports en font état, voire s’en « éloignent » .

Il apparait que seulement 25% des documents évoquent le « management environnemental ». 

Au plan général, le score SIM26k cumulé de notre panel présente une légère évolution (1,4%) sur 3 années glissantes.  Des marges de progression restent probantes.


Sources :

Lien court : https://wp.me/p2OxiV-14V

La grande distribution s’adapte face à la situation sanitaire

Innovation et grands groupes : la grande distribution s’adapte face à la situation sanitaire

Extrait de l’article hebdomadaire de Maddyness sur l’actualité des grands groupes en matière d’innovation. En ce moment, l’adaptation aux défis sanitaires est au cœur des sujets. Mis à l’honneur : Carrefour, Amgen Innovations, Biolabs, la Fondation Université de Paris, Roland Berger, Unicancer, Système U, et April Partenaires.

  • Les commerçants accèdent gratuitement à la Marketplace de Carrefour France dans le cadre du confinement.
  • Système U noue un partenariat avec Yper pour compléter son offre de livraison collaborative à domicile.
  • April Partenaires s’associe à Teepy Job pour faciliter le recrutement des artisans du bâtiment

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Environnement : ce que propose l’incubateur Earthship Sisters

Vingt-quatre femmes connectées pendant neuf mois pour monter leur projet professionnel environnemental dont quinze jours en autarcie sur un bateau, c’est ce que propose l’incubateur Earthship Sisters. L’appel à candidatures est ouvert jusqu’au 30 novembre.

Elles étaient quatorze en 2019, elles seront vingt-quatre en 2020 à embarquer dans une nouvelle aventure terrestre et maritime autour de l’entrepreneuriat écologique, baptisée Earthship Sisters . « C’est un programme ouvert aux femmes de tout âge, quelles que soient leur région et situation professionnelle : en sortie d’études, en transition professionnelle, salariée, à leur compte ou à la retraite. L’important, c’est qu’elles aient envie de porter un projet à impact environnemental », précise la cofondatrice Déborah Pardo, docteure en écologie des populations, conférencière et consultante scientifique mondialement reconnue.

Des mécènes de compétences, dont Altran, acceptent de venir en renfort. « Tous s’engagent à accompagner les Sisters en ouvrant leur carnet d’adresses, en proposant leur expertise, en donnant des conseils », insiste Déborah Pardo.

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Vidéos : EARTHSHIP SISTERS – Accélérateur de leadership environnemental ; Que disent-elles du programme ?

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Le sport a un rôle à jouer dans la transition écologique…

Dans le sport, la question environnementale apparaît de plus en plus au centre des préoccupations. Roxana Maracineanu, la ministre des Sports, fait le point sur la situation pour France tv sport et affirme que le sport a un rôle à jouer dans la transition écologique.

La pratique sportive en France, c’est 34 millions de pratiquants, soit près de la moitié de la population française – et 2,5 millions de manifestations sportives organisées. 

Avec toutes les activités réparties sur le territoire, qu’elles soient médiatiquement mises en avant ou qu’elles soient locales, « on doit impulser une ligne de préservation de l’environnement et a minima respecter la nature car on est vraiment à la croisée des chemins quand on pratique le sport, on est dans l’environnement, dans la nature. On respire de l’air qu’on veut propre, on nage dans de l’eau qu’on veut propre également, et on foule un sol qu’on veut voir sans déchet. Les acteurs du monde du sport ont un rôle à jouer dans la protection de l’environnement, et il faut continuer à suivre cette ligne directrice qu’on a initiée au ministère des Sports depuis les années 2000« , énonce la ministre des sports.

Pour Mael Besson [Responsable Sport chez WWF France], si on parle beaucoup de l’impact environnemental du sport, ce dernier a aussi une responsabilité en matière d’accélération de la transformation écologique de notre société. « Au regard des enjeux environnementaux, on pense que le sport a un vrai rôle à jouer pour instituer des normes de pratique et de consommation et accélérer la transition écologique. C’est l’une des raisons pour lesquelles le WWF s’est engagé sur le sport, car on pense qu’il a tout intérêt à devenir un des premiers défenseurs de l’environnement et qu’il a un vrai rôle à jouer dans cette transition écologique. »

 

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Déforestation… ‘nous jouons contre notre propre camp’

« Cette crise [du #COVID19] nous révèle qu’en détruisant les milieux et les espèces, nous jouons contre notre propre camp. » Isabelle Autissier, Présidente du @WWFFrance

Le confinement nous donne l’opportunité d’observer la nature et la merveilleuse ordonnance de sa beauté, de son harmonie et sa complexité. En détruisant les milieux et les espèces, inévitablement nous jouons contre nous. La biodiversité nous sert, prenons le temps de porter un regard intelligent et bienveillant sur notre environnement.

Isabelle Autissier (mai 2020)

Une sécurité sociale de l’alimentation pour enrayer la faim

En France, nous peinons encore à mettre à l’abri de la faim. Les auteurs de cette tribune proposent donc la mise en place d’une sécurité sociale de l’alimentation, pour plus d’équité sociale, pour transformer notre modèle agricole et prendre ainsi soin de l’environnement.

Les auteurs de cette tribune sont Ingénieurs sans frontières – Agricultures et Souveraineté alimentaire (ISF-Agrista), une association composée majoritairement d’agronomes qui œuvrent pour la souveraineté alimentaire et la mise en place de modèles agricoles respectueux des équilibres socioterritoriaux et écologiques, et le Réseau Civam, qui met en lien les agriculteurs, les ruraux et la société civile pour promouvoir une agriculture plus économe, autonome et solidaire visant à nourrir, préserver et employer dans les territoires.


Source

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Les policiers de l’environnement confrontés aux entraves des préfets

« Scientifiques avant d’être flics », les policiers de l’environnement confrontés aux entraves des préfets

Ils sont chargés de protéger les rivières, la biodiversité, et de verbaliser les pollueurs. « Scientifiques avant d’être flics », les inspecteurs de l’environnement assurent aussi bien des missions de police judiciaire que des inventaires d’espèces. Leur travail se heurte au « pouvoir de nocivité des préfets » qui, soumis aux lobbies locaux, usent de multiples moyens pour leur mettre des bâtons dans les roues.

« On se fait parfois recevoir avec un fusil »

« La police de l’eau est aussi une police administrative », précise Thierry*, qui considère son métier comme « ultra technique ». Quand des projets, comme une zone commerciale, sont susceptibles de menacer l’environnement, il mène des visites de terrain et fournit des avis au préfet. Ces inspectrices et inspecteurs assurent aussi des missions de connaissance des écosystèmes et d’inventaire des espèces, mettent en œuvre des projets de restauration ou de protection de l’environnement avec des collectivités ou d’autres partenaires. « Quand un dommage survient sur un écosystème, on sait caractériser l’impact. On est scientifiques avant d’être flics », résume Thierry.

Ces « flics » de l’environnement ne sont pas forcément les bienvenus. Localement, des agents font parfois l’objet de représailles. Leurs locaux ont par exemple été dégradés dans l’Allier et le Gard [3]. Dans le cas du barrage controversé de Caussade en Lot-et-Garonne, des menaces de mort auraient même été proférées [4].

Bastamag

Thierry Marx : « On est tous acteurs de la consommation mondiale »

Le chef deux-étoiles, Thierry Marx, propose des solutions actuelles pour améliorer la gastronomie de demain. Interview.

Dans le cadre d’une conférence sur la gastronomie en 2050, organisée ce lundi 12 novembre au salon EquipHotel, le chef s’est associé à des étudiants des écoles Ferrandi, Essec et Ensci-Les Ateliers pour réfléchir sur l’évolution de la restauration et de l’alimentation d’ici 32 ans. « Si on continue comme aujourd’hui, en 2050 seuls les très riches pourront bien manger, les autres n’auront que le pire de l’alimentation, avec de la lyophilisation à outrance et autres... » De quoi soulever les problématiques écologiques, et d’envisager des solutions.

Dans cet interview, Thierry Marx aborde toutes les questions de fond sur les impacts des « timides » décisions politiques, sociales, sociétales quant au réchauffement climatique et les risques induits sur l’alimentation mondiale.  Il existe déjà des retombées sur nos modes de consommation et notre santé. 

A quoi ressemblera la gastronomie en 2050 ? « Poser cette question, c’est avant tout poser une question sur l’avenir de l’environnement. Si l’environnement n’est pas stable, alors la gastronomie est déstabilisée. Pour préserver les ressources, il faut préserver l’environnement. »

La question de l’eau ? « Si nous restons sur les mêmes rythmes de consommation tout en passant à 9,7 milliards d’humains, alors la planète va cruellement manquer d’eau. Et la première problématique est l’élevage intensif. »

L’agriculture intensive ?   « il faut vraiment réduire les intrants chimiques qui appauvrissent nettement les sols. Par exemple, la terre de la Beauce est passée de 2 tonnes de lombrics par hectare en 1955, à moins de 200 kg aujourd’hui ! Avec des sols vivants, la production est vivante ; alors qu’avec trop de la chimie lourde, les risques à long terme pour la santé augmentent. »

Le prix des produits consommés ?  « Il est idiot de prendre le prix pour seule valeur de négociation. Le développement durable ne peut pas reposer sur une logique de prix. Il faut arrêter de voir la théorie du low cost comme une logique sociale : cela n’a jamais profité aux pauvres, mais uniquement à quelques riches. On est tous acteurs de la consommation mondiale, et cette échelle de valeurs nous aiderait à mieux comprendre ce que nous consommons. (…) Le prix n’est pas l’important en gastronomie, c’est plutôt l’impact social et environnemental.  »

Quelles solutions ? « Je reste optimiste » (…) « Se pose une question essentielle : comment faire pour que chaque citoyen du monde ait la capacité de mesurer l’impact social et environnemental des produits qu’il consomme. En somme, savoir dans quelles conditions ils ont été produits, aussi bien si les producteurs sont bien traités, et si des produits chimiques ont été utilisés. »

Le réchauffement climatique va-t-il aussi avoir un impact ? Totalement. Cela va pousser à réinventer les circuits pour une économie courte (…) Le réchauffement est non négociable et va faire évoluer la production. C’est déjà, le cas…

Thierry Marx interviendra sur le thème « Quelle expérience gastronomique à horizon 2050 », ce lundi 12 novembre à partir de 9h45 au salon EquipHotel, à Paris expo Porte de Versailles.

 


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Pour les cadres, la RSE devrait prendre plus de place dans la stratégie de leur entreprise

La RSE n’est pas un concept militant défendu par des universitaires et des associations. D’après un baromètre Viavoice, HEC Paris et Society & Organisations Center (SnO), sept cadres sur dix affirment que la RSE devrait prendre plus de place dans la stratégie de leur entreprise.

A quelques jours de la discussion du projet de loi Pacte par le conseil des ministres, cette proportion est révélatrice de l’évolution des mentalités dans ce domaine. Avec ce Plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises (Pacte), le gouvernement va chercher à surfer sur cette tendance pour faire passer un texte qui fera date.

Août 2017, le MEDEF et le cabinet d’études Viavoice publient le Baromètre d’opinion et de prospectives « Les chefs d’entreprise et l’avenir« . Face aux incertitudes de demain, les chefs d’entreprise privilégient l’emploi et l’Humain.

A la question « comment imaginez-vous l’entreprise d’après-demain ?« , 12% des chefs d’entreprise se projettent dans une entreprise responsable, soucieuse de l’environnement, transparente et à l’écoute de ses clients et des différentes parties prenantes.

« Migrer vers des énergies vertes » ; « Des produits qui laissent moins de traces sur l’environnement » ; « Une bonne entreprise qui écoute ses clients et anticipe leurs besoins » « Une entreprise de proximité avec des partenaires de proximité pour des circuits courts »

Pour 41% des chefs d’entreprise, les bonnes pratiques à adopter au cours des prochaines années doivent viser à améliorer le management, la formation, le bien-être des salariés.

 


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