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Droits de l’enfant : ‘Notre Europe, nos droits, notre avenir’

Plus de 10 000 enfants et adolescents participent à une consultation visant à définir la conception de la prochaine stratégie de l’UE en matière de droits de l’enfant et de garantie de leur application.

Un groupe de cinq organisations de défense des droits de l’enfant [1] a lancé une enquête et une consultation en ligne auprès des enfants, ainsi que la production d’un rapport sur ses résultats. La voix des enfants contribuera à alimenter la stratégie de l’UE sur les droits de l’enfant et leur effectivité. « Cette consultation avec les enfants est un changement de cap pour la Commission européenne et un pas important vers une plus grande participation des enfants. Les enfants sont des experts dans les domaines qui les concernent et cette consultation prouve une fois de plus qu’ils sont désormais des acteurs importants ici et maintenant. » a déclaré la vice-présidente de la Commission européenne, Mme Dubravka Šuica.

A democratic state should support every group in society, including children. True democracy is the representation of all groups, minorities and ethnicities in a region. Children are also a part of this population; therefore, their voices must be heard.

(Extract from the Foreword to the report from the Child Advisory Board)

Le rapport a révélé des conclusions inquiétantes :

  • Près d’un enfant sur dix qui a été consulté pour le rapport a été identifié comme vivant avec des problèmes de santé mentale ou des symptômes, tels que la dépression ou l’anxiété;
  • Un tiers des enfants interrogés ont été victimes de discrimination ou d’exclusion ;
  • Les trois quarts des enfants consultés se sentent heureux à l’école, mais 80 % des jeunes de 17 ans interrogés estiment que l’éducation dispensée ne les prépare pas bien à leur avenir ;
  • La majorité des enfants consultés aimeraient apporter des changements dans leur vie scolaire ;
  • 88 % des enfants et des jeunes consultés étaient conscients du changement climatique et de son impact sur leur communauté.

[1] ChildFund Alliance, Eurochild, Save the Children, UNICEF et World Vision

Source : Unicef

Autres articles

Attention de ne pas dégrader la qualité du dialogue social

Entretien avec Patrick Coroyer, président de l’Association nationale des DRH des territoires (ANDRHDT). Il est directeur du département ressources humaines de la ville de Nantes et de Nantes Métropole.

Comment les DRH gèrent-il dans la durée l’impact de la crise sanitaire du Covid-19 ?

Les élus et les DRH sont très largement sollicités et mobilisés par la gestion territoriale de la pandémie. Cela dans une période qui s’inscrit dans la durée. Dans le même temps, le calendrier de la loi de transformation de la fonction publique (TFP) du 6 août 2019 se déroule avec notamment dans le viseur les lignes directrices de gestion (LDG) et les 1607 heures annuelles de temps de travail, alors que le contexte a changé. Nous exerçons une gestion à la journée car il nous faut sans cesse réécrire les nouvelles règles à appliquer. Ce qui prend beaucoup de temps selon la taille de la collectivité. En outre, nous devons accompagner les nouveaux élus dans la mise en place de leurs projets de mandat. Nous jonglons en permanence entre différentes thématiques.

(suite)

Publié par Zepros Territorial

L’utilité, la compétence, l’appartenance

Victor Waknine : « Au travail, le bien-être passe par trois sentiments : l’utilité, la compétence, l’appartenance »

Inventeur du concept de Goodwill Social, créateur de l’Indice de bien-être au travail (IBET), Victor Waknine dirige le cabinet Mozart Consulting. Spécialité : l’engagement des collaborateurs et la performance sociale de l’entreprise. Il décrypte pour 6boolo les mécanismes du bien-être dans la vie professionnelle et reprécise la définition de ces concepts que sont bien-être, bonheur, engagement, sens, motivation… Une certaine confusion règne parfois entre tous ces concepts

Le « bien-être au travail » a une définition claire en psychologie sociale, il est constitué de trois sentiments : Utilité (dans mon travail), Compétence (dans mon métier), Appartenance (à mon environnement de travail).

Le sport a un rôle à jouer dans la transition écologique…

Dans le sport, la question environnementale apparaît de plus en plus au centre des préoccupations. Roxana Maracineanu, la ministre des Sports, fait le point sur la situation pour France tv sport et affirme que le sport a un rôle à jouer dans la transition écologique.

La pratique sportive en France, c’est 34 millions de pratiquants, soit près de la moitié de la population française – et 2,5 millions de manifestations sportives organisées. 

Avec toutes les activités réparties sur le territoire, qu’elles soient médiatiquement mises en avant ou qu’elles soient locales, « on doit impulser une ligne de préservation de l’environnement et a minima respecter la nature car on est vraiment à la croisée des chemins quand on pratique le sport, on est dans l’environnement, dans la nature. On respire de l’air qu’on veut propre, on nage dans de l’eau qu’on veut propre également, et on foule un sol qu’on veut voir sans déchet. Les acteurs du monde du sport ont un rôle à jouer dans la protection de l’environnement, et il faut continuer à suivre cette ligne directrice qu’on a initiée au ministère des Sports depuis les années 2000« , énonce la ministre des sports.

Pour Mael Besson [Responsable Sport chez WWF France], si on parle beaucoup de l’impact environnemental du sport, ce dernier a aussi une responsabilité en matière d’accélération de la transformation écologique de notre société. « Au regard des enjeux environnementaux, on pense que le sport a un vrai rôle à jouer pour instituer des normes de pratique et de consommation et accélérer la transition écologique. C’est l’une des raisons pour lesquelles le WWF s’est engagé sur le sport, car on pense qu’il a tout intérêt à devenir un des premiers défenseurs de l’environnement et qu’il a un vrai rôle à jouer dans cette transition écologique. »

 

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Le projet nantais baptisé « Paysages Nourriciers »

Dans 50 potagers solidaires, des légumes seront produits par les jardiniers de la Ville de Nantes et récoltés avec le soutien des habitants. Ils seront ensuite distribués à des fins solidaires par le biais d’associations de quartier et d’associations d’aide alimentaire nantaises. Plusieurs jardins partagés s’engagent également dans cette production potagère.

pépinière municipale, avec l’aide des bénévoles de l’association EmpowerNantes

En tout ce sont plus de 2,5 hectares répartis sur 50 sites qui ont été nettoyés et bêchés pour recevoir et semis et plants potagers. Tout ce que la ville compte de serres, jardins potagers, zones des gazons inutiles sont passés entre les mains expertes des techniciens de la ville. « Peut-être bientôt des fraises cours Cambronne et des patates aux Douves du château, une touffe de persil devant le bahut et des haricots derrière la gare », commente Anna Marguerite Scheele.

 

 


villeintelligente-mag

Télécharger la carte des 50 sites des ‘Paysages nourriciers’


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La confiance, nouvel indicateur de l’après Covid-19 ?

La notion de confiance est très présente dans la norme internationale ISO 26000:2010. Elle recouvre autant la part accordée à l’entreprise par les parties prenantes (employés, consommateurs, actionnaires) que la dimension opérationnelle comme l’exactitude des informations.

« La confiance se gagne en gouttes et se perd en litres », écrivait le philosophe Jean-Paul Sartre. C’est la maxime que nous rappelle Hervé Serieyx, ancien Délégué Interministériel.

On attirera l’attention de nos lecteurs sur l’intérêt de l’ouvrage d’Hervé Sérieyx (Comment restaurer la confiance en période de crise – paru en mai 2009), notamment en cette période de crise/post-crise. Les institutions sont-elles encore capable de susciter la confiance ? Comment rétablir un climat de confiance ? La confiance a-t-elle évolué ? Comment remettre cet indispensable « carburant » dans nos institutions.

Il en livre ses « 10 commandements », dont le 4ème … « dans une société du savoir, l’entreprise aujourd’hui a besoin de « T women » et de « T men », c’est-à-dire de personnes capables d’approfondir leur professionnalisme tout en élargissant leurs compétences. »

 


 

Il existe bon nombre d’expressions pour exprimer l’incertitude. Elle pointe le bout de son nez à un moment où trop de faits et de paroles contradictoires s’accumulent. Ces quatre mois de pandémie Covid-19 dans le monde ont été un électrochoc. Tant pour les individus que pour les gouvernements et les entreprises. Choc des informations, choc dans les organisations, choc dans le quotidien, choc professionnel et économique. Bon nombre de nos croyances ont ainsi été remises en cause, fragilisant notre confiance, tant sur notre vie que nos gouvernances. Quels nouveaux indicateurs de confiance politique, économique, professionnelle et personnelle pouvons-nous espérer pour l’après ?

Le doute vient nous titiller pour questionner le sens et la confiance. Par certains aspects, il est salutaire. Douter permet de rebattre les cartes, trouver des arguments contradictoires, il permet de se forger sa propre opinion et d’exercer son libre arbitre. A l’heure du déconfinement, le doute prend une place importante dans le débat. Mais la confiance aussi. Et ces deux ingrédients savamment dosés aident les organisations à repenser le quotidien différemment et l’avenir tout autant.

  • Défiance politique
  • Télétravail : rythme de vie professionnelle et personnelle 
  • Qualité de vie au travail Vs Qualité de travail à la maison

Si le télétravail et le flexoffice comportent un nombre d’avantages certains, les généraliser, dans de bonnes conditions, dépendra de la confiance mutuelle entre toutes les parties prenantes, de l’entreprise au salarié en passant par le ministère du travail. Il s’agira de co-créer les conditions viables économiquement et moralement de cette nouvelle norme de travail.

La transparence organisationnelle, financière et législative sera l’un des indicateurs de confiance à surveiller pour que ce nouveau télétravail ne mène pas à la banqueroute sociale.

Maddyness

 


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Quelle sociabilité pour les Français en période de Covid-19 ?

Le confinement lié à la pandémie de Covid-19 a-t-il modifié les relations de voisinage et le sentiment d’isolement des Français ?

S’appuyant sur une enquête  que nous avons menée lors de la 7e semaine de confinement (l’enquête Coconel), nous décrivons ici les services rendus et reçus par les uns et les autres, avant et pendant le confinement, et leurs variations selon la catégorie sociale et l’âge.

Recevoir et rendre des services dans le quartier fait partie de la sociabilité de voisinage des Français. Pour autant, ces échanges ne sont ni symétriques, ni également répartis dans la population, comme l’a montré la première grande enquête sur le voisinage menée en France en 1983.

Ils répondent à des usages sociaux que le confinement ne bouleverse pas, sauf quand il s’agit d’aider les plus âgés et les familles.

Comme le montre notre enquête, en matière d’échanges de services, les Français ont beau être actifs, ils ne sont pas égaux.

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Il ne faut pas perdre la jeunesse…

Après le déconfinement, l’Elysée craint un vent de révolte : « Il ne faut pas perdre la jeunesse »

Pour Emmanuel Macron, le confinement a été pénalisant avant tout pour les jeunes et pourrait, si l’on n’y prend garde, déboucher sur un « conflit de générations ».

La maxime du dentifrice

Pour le chef de l’Etat, le confinement a été pénalisant avant tout pour les jeunes, alors qu’il a d’abord été décidé pour protéger les plus âgés, davantage exposés au coronavirus. Un paradoxe qui, si l’on n’y prend garde, pourrait déboucher sur un « conflit de générations », craint Emmanuel Macron.

Le président partage les analyses de ceux qui estiment que la génération de Mai 68 est responsable d’un certain nombre de maux du pays mais aussi du monde, notamment en matière d’écologie. « Il ne faut pas perdre la jeunesse », résume-t-on au sommet de l’Etat, où l’on répète à l’envi la maxime du dentifrice, qui veut qu’une fois les lycéens ou les étudiants sortis dans la rue, il est difficile de les faire rentrer chez eux.

Le risque est d’autant plus grand pour la République que la menace sécessionniste est réelle au sein du pays, affirme-t-on au sein de l’exécutif. Pour le chef de l’Etat, l’affaire George Floyd entre en résonance avec un passé colonial non encore digéré. « La guerre d’Algérie reste un impensé », aime répéter le locataire de l’Elysée, qui a tenté à plusieurs reprises de faire évoluer les mentalités sur ce sujet depuis le début de son quinquennat mais dit se heurter à l’absence d’interlocuteurs. « Il y a tout un travail à faire avec les historiens, mais cela prend du temps », explique-t-on au cabinet présidentiel.

Par Françoise Fressoz et Cédric Pietralunga Publié le 10 juin 2020 – lemonde.fr

Lire également : les responsables politiques redoutent une révolte de la jeunesse


(extrait ISO 26000:2010)

Il convient qu’une organisation [évalue] régulièrement l’impact de ses politiques et activités sur la promotion de l’égalité des chances et de la non-discrimination ; (…) en menant des actions positives pour assurer la protection et la promotion des groupes vulnérables. (…) tels que la promotion de l’emploi des jeunes et des séniors

(c) Backtothestreet – cartes postales de Jean-Baptiste Pellerin

Télétravaillez, vous êtes fliqués

Le titre est provocateur, mais se veut être une alerte sur les risques d’intrusion en situation de télétravail et d’atteintes à la vie personnelle, si le télétravailleur utilise un outil personnel/professionnel dans le cadre de son travail. Rappelons que les fichiers stockés par le salarié sur son ordinateur professionnel sont présumés avoir un caractère professionnel, reconnaissant par là même à l’employeur le droit de les ouvrir en dehors de la présence de l’intéressé (Franc Muller, avocat). Sauf si le fichier/dossier concerné comporte une mention « PERSONNEL » claire (Droit Travail France).

Cet article est issu des pages de Libération du 2 juin.

Depuis le confinement, de nombreuses entreprises ont fait installer à leurs salariés le logiciel américain Hubstaff, qui calcule leur «temps effectif» en enregistrant leurs mouvements de souris. Un exemple parmi d’autres du contrôle et des pressions subis par certains travailleurs à domicile.

«Le 16 mars on a tous dû installer Hubstaff», se rappelle Zoé (1), analyste en renseignement d’affaires. Ce logiciel intrusif analyse de près l’activité des télétravailleurs. Depuis le confinement et la mise en place de ce dispositif pour des millions de personnes, nombreux sont les salariés qui en subissent au moins un effet indésirable : la surveillance accrue. Et les techniques de flicage s’avèrent riches et variées.

«C’est super stressant, tous les matins on reçoit un rapport d’activité. J’arrive rarement à dépasser les 50 % de temps de travail effectif», soupire Zoé. Le programme américain Hubstaff – qui a vu son utilisation tripler depuis le début de la crise sanitaire – enregistre les mouvements de souris. Il calcule ainsi le «temps effectif» de travail des employés. Si la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) n’a pas émis d’avis sur l’utilisation de ce logiciel en particulierelle reconnaît comme illicites – sauf circonstances exceptionnelles – les «keyloggers» qui permettent d’enregistrer à distance toutes les actions accomplies sur un ordinateur. Dans sa version originale, Hubstaff prend également des captures d’écran à intervalles aléatoires et géolocalise les employés avant d’envoyer le tout, sous forme de rapport journalier, à leurs managers. Ces deux options auraient, a priori, été désactivées par l’employeur de Zoé, mais cela ne l’empêche en rien de se sentir «traquée». «Je ne peux pas prendre cinq minutes pour lire un article ou aller sur Twitter, toutes mes tâches sont chronométrées», déplore la jeune analyste. Elle craint que son entreprise continue d’utiliser le logiciel lorsqu’elle sera de retour au bureau, «ce qui m’obligera à faire sept heures de travail effectif par jour. Fini les pauses-café ou les discussions avec les collègues…» 

(…)

(1) Le prénom a été modifié

Source

Danone est prête pour devenir la première entreprise à mission côté en bourse

Dans un monde ébranlé par l’épidémie de Covid-19, le géant agroalimentaire Danone va proposer à ses actionnaires de devenir une « société à mission » pour renforcer ses engagements sociaux, environnementaux et créer de la « valeur durable », annonce le groupe. Cette proposition présentée lors du conseil d’administration le 19 mai sera soumise à l’Assemblée générale des actionnaires qui se tiendra le 26 juin à huis clos en raison de l’épidémie.

Pour le géant alimentaire, cette nouvelle étape permettra de se doter d’une « gouvernance qui gravera dans le marbre l’ADN de Danone et sa mission d’apporter la santé par l’alimentation au plus grand nombre« . Le conseil d’administration devra ainsi nommer un comité de mission « composé de personnalités d’expertise mondiale », qui rendra compte aux actionnaires des progrès réalisés, sur la base des vérifications d’un organisme tiers indépendant, a détaillé Emmanuel Faber. Quatre objectifs seront évalués à l’aide d’indicateurs spécifiques développés par Danone : l’amélioration de la santé, la préservation de la planète, la promotion de la croissance inclusive, ainsi que la possibilité pour les salariés à tous les niveaux d’avoir un impact sur les décisions de l’entreprise.

L’annonce était attendue. Depuis quelques années déjà, le groupe s’est donné l’objectif d’être entièrement certifié B corp, un label international qui distingue les entreprises ayant des politiques de responsabilité sociétale (RSE) ambitieuses, d’ici 5 ans.

Document d’Enregistrement Universel 2020 – page de couverture

Quelle cotation sociétale ?

Depuis 6 années, LOG’ins Consultants scrute les publications institutionnelles des entreprises cotées sur la place de marché de Paris (CAC 40, SBF 120, SBF 250…). Nous procédons à une cotation sociétale de leurs publications (rapport d’activités, rapport environnemental, rapport de gestion, document de référence, document d’enregistrement universel/DEU) accessibles sur la plateforme de l’AMF (Autorité des marchés financiers).

Mieux-disant ? RSE minded ?

Les résultats du groupe Danone se situe dans le groupe de tête des « leaders ». Son positionnement (ranking) est régulier, en notant toutefois un « accident » pour le rapport 2016 (exercice fiscal 2015).

Dans le DEU 2020 (FY19), Danone consacre 18% de ses pages à la RESPONSABILITÉ SOCIALE, SOCIÉTALE ET ENVIRONNEMENTALE (chapitre 5).  Une densité qui démontre un engagement RSE, et un positionnement chapitral « apparaissant » toutefois comme « moyennement prioritaire » selon nos observations sur 240 rapports .

Nous vous proposerons une analyse plus fine dans les prochains jours

 


 

Source :  Novethic

Biblio : Danone – wiki ; Loi pacte/Entreprise à mission – wiki ; Ces sociétés qui se convertissent en entreprises à mission  ;

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