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Les conditions de travail comme levier d’attractivité (#itw)

Plusieurs secteurs – comme l’industrie, le bâtiment, l’aide à domicile, les transports, l’agriculture…- peinent à recruter. De nombreux métiers se retrouvent en tension. Ce nouveau contexte fait-il évoluer les pratiques des entreprises ? Les conditions de travail peuvent-elles représenter un nouveau levier pour améliorer l’attractivité ? Éclairage de Florence Varandas Loisil, chargée de mission à l’Anact, et de Jérôme Bertin, responsable développement et coordination à l’Aract Auvergne-Rhône-Alpes.

Pour attirer des salariés, de nombreuses organisations privées et publiques se concentraient ces dernières années sur la façon d’améliorer leur communication, leur marque employeur, l’environnement de travail… La donne change-t-elle aujourd’hui ?

Jérôme Bertin, responsable développement et coordination à l’Aract Auvergne-Rhône-Alpes :  Cela ne change pas radicalement : face aux problèmes de recrutement, les entreprises travaillent toujours leur communication sur les postes à pouvoir, leur marque employeur, etc. Pour autant, on voit qu’il est nécessaire de ne pas se restreindre à ces dimensions : il faut aussi agir sur le recrutement, les conditions de travail, les pratiques d’intégration et d’adaptation des compétences. Cela bouscule fortement la GRH en entreprise. Mais certains secteurs évoluent en ce sens parce que les difficultés de recrutement rendent urgente la possibilité de ‘faire autrement’.

Florence Varandas Loisil, chargée de mission à l’Anact : Travailler sur la marque employeur, c’est quelque chose qui se voit facilement, se mobiliser sur les conditions de travail est moins visible… Mais nécessaire. Dans certaines entreprises, ce sont les questions en lien avec la santé au travail qui invitent à réinterroger les pratiques.

(…)

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Les technologies nucléaires à la rescousse pour lutter contre la sécheresse

L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a proposé son aide pour mieux comprendre les eaux souterraines et cours d’eau au Zimbabwe en les cartographiant. Le pays fait face à des problèmes graves de sécheresse et de pénurie d’eau propre.
Il est vital d’identifier les causes de pollution et l’ampleur des contaminations.  » Lorsqu’un cours d’eau est contaminé, la contamination se répand automatiquement vers les eaux souterraines « .
Tracer à l’iode les cours sous-terrain pourrait être une solution.

Source : RSE magazine

Droits de l’enfant : ‘Notre Europe, nos droits, notre avenir’

Plus de 10 000 enfants et adolescents participent à une consultation visant à définir la conception de la prochaine stratégie de l’UE en matière de droits de l’enfant et de garantie de leur application.

Un groupe de cinq organisations de défense des droits de l’enfant [1] a lancé une enquête et une consultation en ligne auprès des enfants, ainsi que la production d’un rapport sur ses résultats. La voix des enfants contribuera à alimenter la stratégie de l’UE sur les droits de l’enfant et leur effectivité. « Cette consultation avec les enfants est un changement de cap pour la Commission européenne et un pas important vers une plus grande participation des enfants. Les enfants sont des experts dans les domaines qui les concernent et cette consultation prouve une fois de plus qu’ils sont désormais des acteurs importants ici et maintenant. » a déclaré la vice-présidente de la Commission européenne, Mme Dubravka Šuica.

A democratic state should support every group in society, including children. True democracy is the representation of all groups, minorities and ethnicities in a region. Children are also a part of this population; therefore, their voices must be heard.

(Extract from the Foreword to the report from the Child Advisory Board)

Le rapport a révélé des conclusions inquiétantes :

  • Près d’un enfant sur dix qui a été consulté pour le rapport a été identifié comme vivant avec des problèmes de santé mentale ou des symptômes, tels que la dépression ou l’anxiété;
  • Un tiers des enfants interrogés ont été victimes de discrimination ou d’exclusion ;
  • Les trois quarts des enfants consultés se sentent heureux à l’école, mais 80 % des jeunes de 17 ans interrogés estiment que l’éducation dispensée ne les prépare pas bien à leur avenir ;
  • La majorité des enfants consultés aimeraient apporter des changements dans leur vie scolaire ;
  • 88 % des enfants et des jeunes consultés étaient conscients du changement climatique et de son impact sur leur communauté.

[1] ChildFund Alliance, Eurochild, Save the Children, UNICEF et World Vision

Source : Unicef

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Documentaire « Le Dernier Poumon du monde » sur le bassin du Congo

Réalisatrice du documentaire « Le Dernier Poumon du monde » sur le bassin du Congo, Yamina Benguigui fait résonner les voix africaines sur l’écologie.

Il est d’usage de parler de l’Afrique comme du berceau de l’humanité. Avec le bassin du Congo, elle pourrait aussi être une partie essentielle de la solution face au réchauffement climatique, à condition que soit véritablement prise en compte son importance écologique. Massif forestier de 3,7 millions de kilomètres carrés, le bassin du Congo est le site où s’écoule le fleuve Congo, le 2e du monde après l’Amazone. Il abrite aussi une tourbière qui a emmagasiné 10 000 ans durant 30 millions de tonnes de carbone. Autant de raisons qui ont conduit la réalisatrice Yamina Benguigui à s’y intéresser. Pour construire le documentaire qu’elle lui a consacré, Yamina Benguigui a fait parler des acteurs locaux très conscients des enjeux écologiques qui se jouent autour du bassin du Congo.

Et d’ajouter « En toute modestie, mon intention est de continuer à faire des documentaires sur l’écologie et sur le développement durable en Afrique en y intégrant la dimension des droits humains sans lesquels toute lutte serait vaine. Les femmes et l’éducation seront au centre de mes prochains films parce que la scolarisation des jeunes filles, l’accès à l’éducation des femmes sont les seuls moyens de compenser les effets de longue durée causés par les inégalités séculaires entre les femmes et les hommes. Il faut aller au-delà de l’égalité juridique formelle et permettre aux femmes d’accéder à une égalité réelle : l’égalité de fait est aussi fondamentale que l’égalité de droit. »

Source : Le Point ; Site perso ; Wikipédia ;

Lien court : https://wp.me/p2OxiV-15w

Travail d’inventaire des inondations remarquables en France

Face au retour régulier des inondations, qui constitue le premier risque naturel en France, tirer les leçons des événements passés apparaît comme une évidence. Un travail d’inventaire des « inondations remarquables en France », réalisé en 2011, a fait l’objet d’un recueil qui rassemble des informations sur près de 175 événements. Il complète le précédent inventaire national (1858-1864) réalisé par Maurice Champion et couvre une période de plus de deux cents ans, de 1770 à 2011.

(c) Le Point : Glissement de terrain à Saint-Martin-Vésubie, dans les Alpes-Maritimes le 6 octobre 2020. © NICOLAS TUCAT / AFP

Source : Le Point

Autres sources :

Publicité… mais quelle pub ?

Le gouvernement réfléchit à interdire la pub pour les voitures polluantes. C’est en tout cas l’avis de la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, qui y pense très fort.

“Faire fumer sa voiture tue.” Ce message de santé publique n’est pas encore obligatoire sur les voitures neuves jugées polluantes, mais l’idée fait son chemin. On la doit aux 150 citoyens de la Convention citoyenne pour le climat, souhaitant imposer, à la manière des messages alarmistes sur les paquets de cigarettes, que la publicité pour les SUV fasse l’objet d’une réglementation. Ce modèle de voiture, très prisé depuis le début des années 2010, n’est pas une cible choisie au hasard : selon l’Agence internationale de l’énergie, les SUV seraient la deuxième cause de l’augmentation des émissions mondiales de gaz à effet de serre depuis 10 ans, en raison de leurs moteurs très gourmands en énergies fossiles. Sur cette même période, leur nombre serait passé de 35 à 200 millions sur la planète (soit 60% de l’augmentation totale du trafic). Pour les plus écologistes d’entre nous, ça suffit.

Photo : Nerivill / pixabay

Source : detours.canal.fr

Le sport a un rôle à jouer dans la transition écologique…

Dans le sport, la question environnementale apparaît de plus en plus au centre des préoccupations. Roxana Maracineanu, la ministre des Sports, fait le point sur la situation pour France tv sport et affirme que le sport a un rôle à jouer dans la transition écologique.

La pratique sportive en France, c’est 34 millions de pratiquants, soit près de la moitié de la population française – et 2,5 millions de manifestations sportives organisées. 

Avec toutes les activités réparties sur le territoire, qu’elles soient médiatiquement mises en avant ou qu’elles soient locales, « on doit impulser une ligne de préservation de l’environnement et a minima respecter la nature car on est vraiment à la croisée des chemins quand on pratique le sport, on est dans l’environnement, dans la nature. On respire de l’air qu’on veut propre, on nage dans de l’eau qu’on veut propre également, et on foule un sol qu’on veut voir sans déchet. Les acteurs du monde du sport ont un rôle à jouer dans la protection de l’environnement, et il faut continuer à suivre cette ligne directrice qu’on a initiée au ministère des Sports depuis les années 2000« , énonce la ministre des sports.

Pour Mael Besson [Responsable Sport chez WWF France], si on parle beaucoup de l’impact environnemental du sport, ce dernier a aussi une responsabilité en matière d’accélération de la transformation écologique de notre société. « Au regard des enjeux environnementaux, on pense que le sport a un vrai rôle à jouer pour instituer des normes de pratique et de consommation et accélérer la transition écologique. C’est l’une des raisons pour lesquelles le WWF s’est engagé sur le sport, car on pense qu’il a tout intérêt à devenir un des premiers défenseurs de l’environnement et qu’il a un vrai rôle à jouer dans cette transition écologique. »

 

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permalien : https://wp.me/p2OxiV-12L

Vers un recyclage des déchets infectieux ?

Pour les déchets médicaux et infectieux, c’est enfouissement ou incinération obligatoires, mais dans le Nord, Cosmolys a obtenu une dérogation pour les recycler. Une expérimentation « prometteuse » selon le gouvernement, interpellé sur le devenir des masques chirurgicaux depuis la pandémie du coronavirus.

Filiale du groupe Santélys, spécialisée dans la santé à domicile, Cosmolys collecte et traite 8.000 tonnes par an de déchets d’activités de soins à risques infectieux (Dasri) – masques, blouses, seringues, liquides etc. – pour le compte d’hôpitaux, de professionnels libéraux, de patients à domicile, de maisons de retraite ou d’industries pharmaceutiques ou agroalimentaires.

Source : Infodurable

Autres : Cosmolys valorise les déchets médicauxCosmolys traite les déchets de soins  ; Qu’est ce qu’un DASRI (Déchets d’Activités de Soins à Risques Infectieux) …

 

La gestion des déchets infectés inquiète !

Algérie : La situation s’accélère de plus en plus dans les établissements hospitaliers du pays où se pose avec acuité la problématique de la gestion des déchets infectés. Celle-ci est aggravée par la saturation des dépotoirs publics et privés des déchets médicaux source d’inquiétude du corps médical et paramédical.

Rien n’a été fait en termes d’économie circulaire pour la gestion des déchets infectieux et sur les centres d’enfouissement techniques» a affirmé Rachid Bouguedah, un ancien cadre de l’administration aujourd’hui à la retraite.

Source

Lire « Gestion des déchets d’activités de soins (DAS) produits au cours de l’épidémie de Covid-19, en particulier en milieu diffus »

Mettre en avant l’intelligence émotionnelle en entreprise

Les émotions sont importantes dans notre vie quotidienne, et il est évident qu’une bonne gestion de celles-ci sera toujours plus avantageuse qu’une mauvaise gestion. En entreprise, les émotions peuvent être tant un moteur de motivation qu’un frein au progrès. Les entreprises, qui rassemblent les individus et servent de terrain pour les interactions sociales, doivent donc intégrer l’intelligence émotionnelle dans leur fonctionnement pour toujours oeuvrer dans la bonne direction. Dans cet article découvrez ce qu’est l’intelligence émotionnelle et pourquoi il est nécessaire qu’elle soit mise en avant dans les entreprises.

Qu’est ce que l’intelligence émotionnelle ?

L’intelligence émotionnelle a été définie par deux psychologue américains Peter Salovey et Jack Meyer comme étant “l’habilité à percevoir et à exprimer les émotions, à les intégrer pour faciliter la pensée, à comprendre et à raisonner avec les émotions, ainsi qu’à réguler les émotions chez soi et chez les autres”.

L’intelligence émotionnelle comporte 3 axes :

  1. La capacité à évaluer et exprimer ses émotions et celles d’autrui
  2. La capacité à réguler ses émotions
  3. La capacité à savoir utiliser ses émotions

Source

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