• Articles récents

  • Archives

  • Méta

Les conditions de travail comme levier d’attractivité (#itw)

Plusieurs secteurs – comme l’industrie, le bâtiment, l’aide à domicile, les transports, l’agriculture…- peinent à recruter. De nombreux métiers se retrouvent en tension. Ce nouveau contexte fait-il évoluer les pratiques des entreprises ? Les conditions de travail peuvent-elles représenter un nouveau levier pour améliorer l’attractivité ? Éclairage de Florence Varandas Loisil, chargée de mission à l’Anact, et de Jérôme Bertin, responsable développement et coordination à l’Aract Auvergne-Rhône-Alpes.

Pour attirer des salariés, de nombreuses organisations privées et publiques se concentraient ces dernières années sur la façon d’améliorer leur communication, leur marque employeur, l’environnement de travail… La donne change-t-elle aujourd’hui ?

Jérôme Bertin, responsable développement et coordination à l’Aract Auvergne-Rhône-Alpes :  Cela ne change pas radicalement : face aux problèmes de recrutement, les entreprises travaillent toujours leur communication sur les postes à pouvoir, leur marque employeur, etc. Pour autant, on voit qu’il est nécessaire de ne pas se restreindre à ces dimensions : il faut aussi agir sur le recrutement, les conditions de travail, les pratiques d’intégration et d’adaptation des compétences. Cela bouscule fortement la GRH en entreprise. Mais certains secteurs évoluent en ce sens parce que les difficultés de recrutement rendent urgente la possibilité de ‘faire autrement’.

Florence Varandas Loisil, chargée de mission à l’Anact : Travailler sur la marque employeur, c’est quelque chose qui se voit facilement, se mobiliser sur les conditions de travail est moins visible… Mais nécessaire. Dans certaines entreprises, ce sont les questions en lien avec la santé au travail qui invitent à réinterroger les pratiques.

(…)

Lire+ sur anact.fr

Comment sensibiliser le grand public à la pollution plastique ?

Ces photos audacieuses du ‘Sale calendrier’ sensibilisent le grand public à la pollution plastique

L’association Wings of the Ocean a choisi d’éditer un “Sale calendrier” pas comme les autres. Inspirées des “Dieux du stade”, mais aussi des grands mythes et classiques de l’art, les clichés réalisés par le photographe Victor Janjic mettent en scène des corps nus aux côtés d’amas de déchets. Objectif : lever des fonds pour cette association qui veut en finir avec la pollution plastique.

Baptisé “Sale calendrier”, cette édition 2023 est la troisième du genre, comme on peut le lire dans un article du Parisien. En guise de mois de juillet, on peut par exemple y voir une liberté guidant le peuple alors que l’océan est jonché de bouteilles en plastique et autres déchets.

Les photographies, réalisées par Victor Janjic, sont également exposées jusqu’au 30 octobre au Havre, en Seine-Maritime, à la Halle aux poissons. Il s’agit d’un “tiers lieu tourné vers l’écologie marine”, précise Théophile Neuville, le programmateur.

Source : Positivr.fr

Les technologies nucléaires à la rescousse pour lutter contre la sécheresse

L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a proposé son aide pour mieux comprendre les eaux souterraines et cours d’eau au Zimbabwe en les cartographiant. Le pays fait face à des problèmes graves de sécheresse et de pénurie d’eau propre.
Il est vital d’identifier les causes de pollution et l’ampleur des contaminations.  » Lorsqu’un cours d’eau est contaminé, la contamination se répand automatiquement vers les eaux souterraines « .
Tracer à l’iode les cours sous-terrain pourrait être une solution.

Source : RSE magazine

Nucléaire : les pro-atome envahissent les réseaux sociaux

Youtube, Twitter, Linkedin… Les pro-atome envahissent les réseaux sociaux grâce à une kyrielle d’opérations de communication lancées par l’industrie électronucléaire. Leur argument phare : la faible empreinte carbone du secteur. Leur méthode : construire une opposition factice entre scientifiques (pronucléaires) et militants (anti).

Depuis janvier 2021, le groupe EDF (producteur et fournisseur d’électricité) a choisi de publier sur Facebook plusieurs vidéos courtes en partenariat avec le site d’actualités Konbini et le youtubeur Poisson Fécond. Le principe : en moins de deux minutes, le vidéaste répond aux questions des internautes sur le domaine de l’énergie. L’occasion là encore de mettre en valeur l’industrie nucléaire.

« Le nucléaire, c’est ce qui nous permet de produire beaucoup d’énergie tout en rejetant très peu de CO2 », résume Poisson Fécond au cours du deuxième épisode. C’est vrai, mais cela élude totalement des problématiques qui mériteraient aussi d’être évoquées : la question du vieillissement des centrales, des risques de saturation des piscines de refroidissement, des lacunes du projet Cigéo, les conséquences des accidents nucléaires, ou encore du coût important du secteur.

« Il y a des logiques très intéressées des industriels derrière ces stratégies de communication », relève Alexandre Eyries, enseignant-chercheur en sciences de l’information et de la communication à l’université de Bourgogne Franche-Comté. Leur but : « redorer l’image » et « dédiaboliser » un secteur parfois controversé, qui peut faire peur aux Français. En visant un public jeune, très actif sur les réseaux sociaux.

Lire l’intégralité de l’article de Reporterre.net

Danone : des actionnaires engagent une démarche inhabituelle

Danone : des actionnaires demandent aux administrateurs de clarifier leur vision du groupe

Après le débarquement du patron Emmanuel Faber, des actionnaires de Danone demandent aux administrateurs de s’expliquer individuellement sur la stratégie à venir du groupe, lors de l’AG du 29 avril. Parmi les points à clarifier, l’impact du plan Local First, le statut d’entreprise à mission, la gouvernance. Une démarche inhabituelle.

Ces derniers, qui détiennent ensemble 0,7 % du capital, veulent que chaque administrateur « exprime individuellement sa vision stratégique pour le groupe en développant notamment son apport personnel sur les questions environnementales et son approche pour l’organisation d’une gouvernance équilibrée ». 

Les Echos

Lire+ : les publications institutionnelles

Roubaix, quand l’industrie textile renaît

Un documentaire diffusé le 8 avril 2021 sur France 3, à 22 h 50, nous fait vivre la bataille pour la relocalisation en France d’une activité qui avait quasiment disparu.

(…) quand les ateliers de confection employaient des dizaines de milliers d’ouvrières et d’ouvriers… avant la chute brutale de l’industrie textile française, dans les années 1970, anéantie par la concurrence des pays asiatiques producteurs à bas coûts. Benjamin Carle, journaliste qui a réalisé le documentaire à succès Made in France : l’année où j’ai vécu 100 % français, ainsi que sa consœur Ella Cerfontaine ont suivi, caméra au poing et des mois durant, la poignée d’hommes et de femmes dont l’ambition était de faire revivre un pan d’industrie textile dans l’une des villes les plus pauvres de France.

Le documentaire, intitulé Re-faire des masques, une filière, une industrie, raconte une aventure humaine et entrepreneuriale hors du commun. Une réponse à la dépendance de la France aux fournisseurs étrangers, à la vulnérabilité sanitaire et à sa faiblesse industrielle. L’expérience de l’atelier Roussel fait partie du réseau Résilience, un groupement national de PME du textile, d’entreprises d’insertion et d’entreprises adaptées créé à l’occasion de la crise du Covid-19 pour assurer la production de masques. « C’est un test de réindustrialisation à grande échelle » (…)

Lire+

La pertinence du modèle de l’entreprise responsable

« Il n’y a pas d’opposition entre profitabilité et responsabilité », selon l’économiste Patrick Lenain. 

Les chemins vers une économie durable sont pavés d’initiatives nombreuses. Les entrepreneurs les plus engagés sur les voies de la RSE, de l’économie circulaire, de l’efficacité énergétique font aujourd’hui figure de stratèges avisés. La crise semble leur avoir donné raison.

Elles ont refusé de licencier, ont mobilisé leur appareil industriel au profit de l’effort collectif, ont innové afin de trouver des solutions de rupture sur le front de la crise sanitaire… Les entreprises responsables ont franchi l’année 2020 auréolées d’une reconnaissance nationale. Ces entrepreneurs ont pris de l’avance sur le champ social et environnemental, et leur résilience face à cette crise prouve aux sceptiques que leur modèle est le bon.

Etre responsable « coûte moins cher », du fait des économies réalisées grâce à une moindre consommation énergétique et de l’attractivité du modèle auprès des investisseurs.

« Nombre de dirigeants ont compris que cela suppose un changement radical et que se contenter de changer d’outils pour faire la même chose ne rime à rien » observe Adrien Delaunay, fondateur d’Entreprise Vivante et coach professionnel au côté des entreprises en transition sur les questions de gouvernance.


Lire l’intégralité de l’article « La crise renforce la pertinence du modèle de l’entreprise responsable »

La crise renforce la pertinence du modèle de l’entreprise responsable


« Il n’y a pas d’opposition entre profitabilité et responsabilité », selon l’économiste Patrick Lenain.

Les chemins vers une économie durable sont pavés d’initiatives nombreuses. Les entrepreneurs les plus engagés sur les voies de la RSE, de l’économie circulaire, de l’efficacité énergétique font aujourd’hui figure de stratèges avisés. La crise semble leur avoir donné raison.

Source : lemonde.frrédigé par Julie Le Bolzer, le 06/04/2021 à 07:15

Tourisme responsable : de nombreuses initiatives essaiment le secteur !

Pour Mélanie Mambré, fondatrice de Vaovert, la création d’entreprise est avant tout un parcours de vie.

L’ambition de l’entrepreneure ne s’arrête pas là puisqu’elle souhaite se développer pour les professionnels pour les aider à transiter vers le tourisme durable. Le défi pour demain reste « d’être encore plus visibles. Nous voulons devenir une véritable alternative éthique française aux acteurs standards existants ». Mais pour l’heure, elle a déjà dû répondre à un autre challenge comme beaucoup d’entreprises : La Covid. « Aujourd’hui, de manière immédiate, on subit la Covid. Il a fallu que nous actionnions des leviers pour que l’offre qui a subi une première baisse reprenne de l’ampleur. Cela nous a mis un coup d’arrêt et donc un bond en arrière car nous avons perdu la moitié de notre offre. Nous avions 300 établissements en février 2020 et en avril de la même année nous sommes passés à une centaine ». Pari réussi puisque l’entreprise réaugmente son nombre d’établissements, aujourd’hui, à 150 même si elle doit encore convaincre les acteurs de passer le pas de faire appel à une entreprise qui démarre. A noter tout de même qu’il s’agit d’une offre assez conséquente pour répondre à tous les voyageurs.

Lire l’intégralité de l’article

Consulter l’article de Novethic sur la SNCF qui propose depuis le mois de mars un outil comparatif qui permet de calculer l’empreinte carbone de nos déplacements


Publié le 10-04-2021, modifié le 11-04-2021

Loi Climat : un « défenseur de l’environnement » ?

LA CRÉATION D’UN « DÉFENSEUR DE L’ENVIRONNEMENT » POURRAIT ÊTRE INSCRITE DANS LA LOI CLIMAT ET RÉSILIENCE

Alors que la préservation de l’environnement devient omniprésente dans les débats à travers l’étude de la future loi climat et résilience, l’objectif est parallèlement de pouvoir garantir le respect et la compréhension des mesures à venir. Dans ce but, le gouvernement étudie la mise en place d’un Défenseur de l’environnement, chargé de veiller et conseiller sur le respect de la législation en matière d’environnement. Un projet qui ne fait cependant pas l’unanimité.

« Un projet unique au monde » selon la députée LREM Cécile Muschotti, chargée depuis janvier de rédiger un rapport à ce sujet. L’idée ne sort pas de nulle part : initialement proposée par la Convention citoyenne pour le climat, la proposition n’a pourtant pas été retenue dans le texte final rédigé par le gouvernement. Mais elle n’a pas été abandonnée pour autant.

(…)

Publié le 22 mars 2021 par Novethic

  • Entrez votre adresse mail pour suivre ce blog et être notifié par email des nouvelles publications.

  • Catégories

  • Suivez-moi sur Twitter